Critique de Charlotte et Julianne, école Saint-Joseph
Les images, sont en noir et blanc, ce qui fait qu’on ne comprend pas très bien. Puis, les grandeurs sont irréelles. Par exemple : à la p.68, on dirait que l’ambulance c’est un camion avec des lumières sur le toit. Aussi, à la p.110, l’oiseau est à moitié sorti de sa cage, c’est irréel que le chat soit gros comme le quart d’une valise. Puis, on dirait que Noémie traîne un rideau avec elle.
Le déroulement de l’histoire. Quand l’auteur pose une question, la réponse se trouve seulement au chapitre d’après. Par exemple, chapitre 1 : « Quelque chose me dit dans mon ventre que ma grand-maman est en difficulté. Quelque chose me dit qu’elle a besoin d’aide »(p.14). Puis, la réponse au chapitre 2 : « je fais de l’hypertension. C’est…. C’est comme si j’avais trop de pression dans le sang, alors c’est dangereux pour le cœur » (p.43). Aussi, l’auteur n’a pas décrit ce qui se passait dans l’ambulance, sauf le bouchon de circulation. Exemple : chapitre 6 « Le conducteur se penche et ouvre la porte en vitesse, je saute dans l’ambulance (p.70).Puis, la réponse au chapitre 7 : « à l’intérieur de l’hôpital, on s’active à gauche et à droite. Je suis tellement étourdie que je ne vois pas les ombres circuler autour de moi » (p.76).
Pour finir, ce livre est bon, il a un bon nombre de pages. Il m’a beaucoup touchée. L’écriture est bien adaptée aux enfants. La grosseur des lettres est parfaite. Je vous le recommande.
